La pianiste turque Idil Biret, que son professeur Wilhelm Kempff aimait tant, n'a pas la notoriété d'une Martha Argerich. C'est pourtant une très grande interprète au vaste répertoire d'un rare éclectisme qui va de Bach à Boulez en passant par tous les autres grands, parmi lesquels Franz Liszt dont elle visite ici la maison de Weimar encore "habitée" par le grand pianiste et compositeur auquel elle rend hommage sur le Bechstein d'époque, avec cette Légende de St François d'Assise prêchant aux oiseaux.
Visitons avec elle cette maison historique, bercés par ces notes ruisselantes d'une période "mystique" de celui qui fut auparavant une "idole" qui faisait se pâmer un public féminin dans les premiers "récitals" de l'histoire de la musique.
Sérénité et plénitude : ça vous va ?
Nota bene
La fiche Wikipedia d'Idil Biret est très bien faite, qui déroule son impressionnante discographie.
C'est ici : clic
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1 commentaire:
Une merveilleuse pianiste qui nous dit que la Turquie est aussi un pays de grande culture occidentale et universelle comme celle dont se prévalait l'immense musicien qu'était Liszt et dont ne s'honore pas hélas le pouvoir politique actuel dans ce beau pays que j'ai beaucoup aimé et où je ne retournerai plus.
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