Pendant une année, Pierre Sand nous a offert le "blog" - quel vilain mot pour pareil cadeau ! - Adolescere.
Quelques mois seulement d'hymnes à l'amour que je nous (oui, nous ) conseille de lire et relire, tranquillement évadés, pour quelques précieux instants, des fracas de notre temps.
Je ne sais si vous êtes nombreux à avoir suivi le lien qui menait vers ce trop éphémère Adolescere, dans la colonne de droite.
S'il est une chose dont on puisse me remercier ici, dont je puisse être fier, c'est d'avoir conduit vers ces billets à la fois douloureux - sur la fuite du temps - et réconfortants : sur le savoir vieillir.
C'est ici : cliquer
4 commentaires:
Ce fut un délice, parfois douloureux, de plonger dans le monde d'"Adolescere".
Un privilège, aussi.
Tout comme votre blog, ce sont des fenêtres derrière lesquelles se tient une lumière et que l'on a simplement envie d'ouvrir.
Vous nous aviez aussi invités à découvrir le blog (mot tellement réducteur) de Céléos qui dans Véhèmes a fait se lever des soleils et éclater des orages...d'une beauté fracassante et que nous venons de réentendre chez vous avec son émouvante énergie.
Voilà vraiment de belles pensés que, avec les votres, vous nous avez fait découvrir.
J'ai, pour cela, une véritable gratitude.
Marie
Adolescere doit beaucoup à Gaycultes. Il y a quelques années, le hasard (il n'y a pas de hasard parait-il..) m'a conduit vers ces pages qui m'émurent ; les pages de Silvano Mangana ne sont pas que des linéaires de jolis garçons, c'est une atmosphère. Pour être honnête, je ne sais plus si je me suis reconnu dans cette ambiance ou si je l'ai immédiatement faite mienne. Qu'importe. J'aime la sensualité du théâtre qu'il construit billet après billet, année après année, témoignant par là d'une constance dans le talent que je n'ai pas... Son hommage me touche et m'honore donc tout particulièrement et je l'en remercie mais -au risque du ridicule de faire assaut de révérences...- je voudrais lui dire que l'on n'écrit pas (qu'on ne vit pas non plus) sans entrevoir des mondes que nous n'habitons peut-être pas tout à fait mais dont la seule existence nous rassure et nous accompagne. Merci pour ces mondes Cher Silvano.
Pierre Sand
Pierre Sand, la couleur qui vient à mes joues est celle du poinsettia qui trône sur ma table ronde et blanche. Je fais preuve d'une totale immodestie en publiant ce commentaire, mais, comme vous le savez, je ne "censure" que la malveillance ou la vulgarité.
J'ai entrepris la lecture des écrits de Pierre Sand et ne marque une pause que pour vous en remercier et approuver les commentaires de Marie et de Pierre Sand. Bonne fin d'année à vous.
Jules
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