Peut-être aurez-vous oublié cette scène du dernier film de Pedro Almodovar Dolor y Gloria, au cours de laquelle Eduardo (César Vicente) provoque une réaction inattendue chez le tout jeune Salvador (Asier Flores) ?
Gay Cultes rafraîchit votre mémoire.
Merci qui ?
Pour les nouveaux venus, ou les anciens qui ont des absences,
je pratique plus souvent qu'à mon tour un second degré qui n'est
pas toujours compris, je sais, tant pis, c'est comme ça, on ne me
changera plus, c'est trop tard maintenant, ciao !
J'ai barré ce texte parce que je sais bien que oui, tout le monde
a suivi, au quai, excusez-moi, à plus.
J'ai barré ce texte parce que je sais bien que oui, tout le monde
a suivi, au quai, excusez-moi, à plus.
8 commentaires:
Silvano demande à être remercier pour ce post, alors merci. C'est pas du "Merciiii Maître" hein ( il se reconnaîtra ).
Je ne connaissais pas ce film, pas besoin de raffraîchissement ;)
Un grand réalisateur, de grands acteurs et de très bonnes critiques. J'ai visionné pas mal de vidéos, ça a l'air d'être un grand moment de cinéma, tendre et poêtique, c'est pour moi.
Il sortira en DVD fin septembre et je l'ai précommandé :p
Je ne peux expliquer ce que seuls ceux qui ont vu le film pourront comprendre dans mon préambule.
Premier désir, premier trouble...
Quel artiste ! Almodovar aussi intense que Proust dont on attend pour cet automne la première édition d'écrits jusque là encore soustraits à notre joie. La vie est belle !
Eric.
La grande forme, Silvano, cet été !
Merci Silvano !
Scène gay-culte en effet dont la sensualité est torride !
Bon mois d'aout
Jacques : je ne peux publier votre commentaire qui divulgue ce que je ne veux révéler.
Un autre commentaire me signale une grossière erreur que je corrige après vérifications (je ne pratique pas la langue espagnole et me suis laissé abuser par Allociné) : je ne publie pas en raison des termes insultants qu'il contient. Je ne suis pas censé être omniscient et ne l'ai jamais prétendu.
Comment, Silvano, vous ne parlez pas toutes les langues ?
J'avais noté l'erreur et voulais envoyer un message : c'est plus élégant qu'un commentaire malveillant. Tout cela n'enlève rien au magnétisme torride que dégage ce bel Eduardo.
Pour rappel, on peut m'envoyer des mots doux à l'adresse suivante :
silvanomangana@gmail.com
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