Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


jeudi 27 février 2020

"Je n'ai jamais voulu me cacher"


Chanson et film très appréciés dans la sphère LGBT transalpine.

Et pourtant, Liberato, sorte d'Elena Ferrante de la chanson italienne (nul n'a jamais vu ses traits, qu'il dissimule sous masque et capuche) reste un mystère pour la jeunesse de son pays que ses clips très cinématographiques ont émue ou galvanisée selon le sujet du moment.
Vous n'aurez pas grand mal à les voir sur le Tube, dont ceux qui, tournés à Capri comme un feuilleton, racontent des histoires d'amour qui finissent mal. Pour l'instant. 
Il est aisé de comprendre, en tout cas, pourquoi cet artiste napolitain, extrême, forcément, est devenu en peu de temps un véritable phénomène, porté aux nues, entre autres par Roberto Saviano, l'auteur du fulgurant Gomorra.

Ma, chi è ?

Merci à F. qui a suscité ce billet.


4 commentaires:

Enguerrand a dit…

Liberato un nom de scène très Liberace ! Ceux qui aime les pianistes américains bagousés/flamboyants pigeront !

Enguerrand a dit…

Un grand merci pour cette heureuse découverte ! Vraiment l'italien chanté est magnifique !

Espérons que son anonymat perdure ! C'est fou ce qu'un Terrence Malik mais surtout, surtout Thomas Pynchon ont fait des émules dans le monde de la musique ! Gardez ce mystère de l'anonymat insondable .

Alex H. a dit…

Intéressant. Mais musicalement, Silvano, franchement ?

Silvano a dit…

Alex, l'idée est intéressante ; quant à la musique, effectivement, rien de nouveau sous le soleil napolitain..