Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


samedi 26 décembre 2020

" Parce que c'est lui ; parce que c'est moi "


C'est un roman-graphique merveilleux, qui se lit comme on regarde un film. L'auteure parvient même à le "sonoriser" avec de jolies onomatopées.
C'est le cadeau d'un nouvel ami sensible, cultivé, attentif.
La dédicace, écrite sans la moindre faute par ce garçon de 24 ans, est bouleversante.
Nous définissons notre rencontre comme étant un "coup de foudre amical", en harmonie avec la fameuse définition que Montaigne fit de sa relation avec Etienne La Boétie.
Mes avanies de l'été 2020 sont dérisoires, effacées par la grâce de cette rencontre inespérée.
La lecture de ce blog n'étant pas son pain quotidien - je ne sais même plus si je l'ai évoqué - c'est un bonheur que je partage avec vous, avec ceux qui lisent aussi les textes qui émaillent - trop peu, m'a-t-on dit - ce journal matutinal. 

4 commentaires:

Pippo a dit…

Quel plaisir de vous lire, cher Silvano. Pour vous 2020 restera une année faste.

Eric D a dit…

Merci pour nous avoir communiqué cette découverte.
On peut trouver une vidéo décrivant le livre, et surtout l'instrument, sur le site de l'éditeur Casterman:
https://www.casterman.com/Bande-dessinee/Catalogue/albums/le-piano-oriental
Cette belle amitié naissante vous aide à tourner la page de cette année troublée on perçoit votre vibration positive Silvano, merci de nous l'avoir partagée.

Anonyme a dit…

Quelle joie que de lire votre joie, cher Silvano.
Je prends la Joie comme un puissant remède. Elle fait naître des sourires et apaise les coeurs. Traînée de lumière, elle est donnée à l'un et se propage à l'autre, quant, avec délicatesse, elle est partagée.
Merci à vous.
Que l'année nouvelle qui s'annonce, quelque soit son apparence, vous enchante, vous émerveille et celles et ceux qui vous lisent.
Marie

Silvano a dit…

Merci à vous, et en particulier, ne m'en veuillez pas, aux douces phrases de ma fidèle Marie.