Jonah dans sa chambre par Liz Kaufman |
mais je suis en avance d'une minute :
habituellement je publie l'ange du jour
à sept heures du matin et quarante minutes.
Rien à voir non plus, mais
lundi dernier dit "de Pentecôte", je me suis vautré dans l'ennui.
Est-ce vraiment désagréable ?
Aucun de mes jeunes n'était dans les parages.
Un peu après sept heures du soir, comme j'étais sur le balcon, le soleil a fait une brève apparition.
Je suis allé me servir un jus de tomate ; j'ai forcé la dose sur le sel de céleri pour me fouetter le sang.
Habituellement, à cette heure - appréciez le jeu de mots -, on fait "salute" avec du whisky, toujours irlandais, de l'ouzo ou du Martini tel quel, pas celui des films américains où l'épouse, se rengorgeant, déclare à ses invités que son mari fait les meilleurs Martini de Manhattan.
Vers sept heures vingt-sept à peu près, le soleil a pris la tangente, il a fait froid ; je suis rentré, et finalement je me suis servi un Jameson qui n'avait pas le même goût que lors du deuxième confinement où je connus celui qui m'a manqué si fort à ce moment très précis.
Ce qui a à voir, c'est que j'aime beaucoup la photo toute simple de ce Jonah Peterschild dont je ne sais rien, mais qui me plaît bien.
Avoue que c'était passionnant.
1 commentaire:
Bonjour Silvano,
À propos du breuvage irlandais, je me permets de vous dire qu'il s'orthographie "whiskey", le terme "whisky" étant réservé au breuvage écossais.
Merci pour vos billets matinaux que je lis le lendemain matin à Taïwan.
Serge
Enregistrer un commentaire