Dans Illusions perdues (voir ma chronique d'hier mardi) Benjamin Voisin ne cache guère (euphémisme !) un corps bien découplé ; dans Été 85 d'Ozon non plus.
C'est dans Fiertés, série télé LGBTQ de Philippe Faucon diffusée par Arte que je l'avais personnellement découvert.
Par acquit de conscience, en blogueur responsable, je me suis obligé (quoi que), hier, à en revoir les premiers épisodes.
Il est vrai que le tout jeune homme y était excellent et permettait de présager une fort belle carrière.
Laquelle est fort bien engagée :
Benjamin Voisin et Sami Outalbali, Fiertés (2018) |
Avec Félix Lefebvre dans Été 85 de François Ozon |
6 commentaires:
Bonjour Silvano
J'imagine que vous vouliez dire que votre Voisin avait un corps bien découpé ce qui est en effet le cas ?!
Oserais je écrire que votre esprit s'est égaré vers un accouplement ?!
Bonne journée et merci de votre présence à nos côtés
F.
Merci à vous, F. Bien "découplé" : Bien découplé, qui a un corps harmonieusement proportionné, bien bâti.
Synonymes :
bâti - charpenté - taillé
(Larousse).
Il serait dommage de "découper" ce beau garçon.
On peut surtout dire que l'on aimerait l'avoir comme Voisin de chambrée
Bonjour Je trouve que Benjamin Voisin a un charisme certain. Toutefois, il se dégage de lui, un forme de domination, de morgue de supériorité qui me gène... mais il est indéniable que c'est un beau mec, qui ne laisse pas indifférent.
unnu : il me donne également cette impression. On lui pardonnera, au bénéfice de l'âge et de l'ambition naturelle qui va de pair.
Merci, cher Silvano, d'enrichir au passage notre vocabulaire.
"Découplé", une épithète tout à fait idoine por qualifier l'harmonie du corps de Benjamin Voisin, et, à la fois, l'aisance de ses mouvements. Et ce ne sont pas les seuls charmes de ce garçon !
L'un de vos lecteurs se dit gêné par ce qu'il dit être chez l'acteur une forme de morgue. Selon moi, il n'y a aucune arrogance, ni orgueil, chez Benjamin. Mais, en excellent comédien, il exprime avec talent l'assurance du jeune Rubempré, le toupet de l'homme pressé, la candide hardiesse du séducteur. Je crois que Benjamin Voisin ne propose qu'une brillante interprétation de la fougue de l'ambitieux Lucien Chardon.
Bravo pour votre brillante recension du film de Xavier Giannoli. Je souscris à 100 % !
René
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