Après les agapes de la veille et les cris des enfants découvrant leurs cadeaux, le village s'était endormi dans son silence d'hiver.
À onze heures du soir, je suis monté à l'étage. De la fenêtre de ma chambre, je vis ce que la Ville (trop de) Lumière ne nous permet jamais de contempler : le firmament dans toute sa splendeur. Le souvenir me vint de L'Odyssée, dans laquelle Homère évoque le Titan Atlas, condamné par Zeus à porter sur ses épaules la voûte céleste pour l'éternité.
L' Atlas Farnèse - Musée archéologique de Naples |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire