Si les scénaristes ont parfois cousu de fil blanc leur intrigue, n'en reste pas moins que le contexte a de quoi me ravir, ne serait-ce que par le dialecte local et les images de la ville qui danse sur un volcan.
Il faudra attendre la troisième saison pour qu'apparaissent deux (beaux) garçons gay. Le peu que j'en ai vu est loin des situations torrides des séries espagnoles, mais l'intégration dans les feuilletons pour jeunes adultes de protagonistes homos est devenue monnaie courante. Ce n'est pas ici que l'on s'en plaindra.
Toujours est-il que le personnage de Carmine (pur et impur à la fois, mais "straight"), joué par ce Massimiliano en découverte, est admirablement mis en valeur.
Craquant, vous dis-je !
Craquant, vous dis-je !
11 commentaires:
Ces "sauvageons", dans leur "royaume" de Naples, on les appelle "Scugnizzi", épithète affectueuse dont on pourrait qualifier nos "titis" parisiens, aujourd'hui disparus...
Renato
Merci Renato. Ce terme concerne toutefois des garçons plus jeunes que les "héros" de cette série, des enfants de 12/13 ans en moyenne.
Si je traduis en lyonnais il s’agit donc des gones puis des grands gognants
"une bande de minots" dans les environs d''Avignon.
Ou les "pitchounes" lorsqu'ils sont plus jeunes.
Joël
Je pense que vous n'avez pas vu la série : les "minots " en question manient flingues et armes blanches. Ils assassinent ou violent. C'est Naples et la Camorra.
Ceux de la série ont 17 ans et sont des loups.
Vu la première saison. Pas des agneaux, ces napolitains !
Je confirme, n'étant pas abonné à Netflix, je ne connais pas la série.
Joël
je regarde moi aussi cette série, qui n'en fini pas..;;;;
Je suis d'accord avec vous le jeune Massimiliano Caiazzo?
Série un peu longuette, mais quel plaisir de voir jouer le jeune Massimiliano Caiazzo, par son jeu, il me fait penser à James Dean !!
Oui, longuette. J'ai "picoré" çà et là.
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