Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


mercredi 1 octobre 2008

Trénet : mise au point.

A la demande du représentant de l'Institut Charles Trénet, il a été procédé à quelques rectifications dans le billet écrit il y a quelques mois sur le chanteur et poète Charles Trénet* : malgré divers "guillemets" qui ne pouvaient laisser planer de doute sur les intentions de l'auteur, il est vrai que les informations sur la procédure inique dont le grand chanteur fut victime (et qui aboutit finalement à un non-lieu) ne laissaient pas clairement apparaître, malgré une note en bas de page, que Trénet, s'il était bien "gay", n'était pas "pédophile".
L'homophobe-crétin de base (pléonasme !) en effet, se complaît généralement dans l'amalgame pédé=pédéraste=pédophile et l'Internet étant ce qu'il est, la sale "rumeur" se répand à la vitesse de l'éclair !
Avec plaisir, dont acte.
Signalons au passage que selon les derniers chiffres publiés par la Sacem, pour l'année 2007, la chanson "La Mer" de Charles Trénet est la deuxième oeuvre française la plus exportée, juste après "Comme d'habitude) (François-Thibaut-Revaux).



La "une" de Libération lors de la disparition de Charles Trénet

* L'article : Charles Trénet au paradis des poètes.

1 commentaire:

Daniel a dit…

Je rejoins ce que vous avez écrit et ce que je pense de ce sujet délicat de la pédophilie et la pédophilie tel quelle , selon 2 véritables différences parce que c'est un tabou sans doutes ou pire encore , cela n'a pas empéché de faire de certains enfants des ennuques dans le temps pour garder leurs voix féminines , cependant des enfants aiment qu'on les admire mais leur mère non sinon vous passez en effet pour un pédophile et celà dépend de la maladresse de l'enfant à dire ce qu'il peut dire sur vous ensuite . J'ai eu ce problème étant plus jeune avec un enfant de palier qui passait chez moi sans gênes , frapper chez moi sans raisons et d'autres que j'aidais après l'école pour leur devoirs . Celui qui s'appelait manuel ( un portuguais ) est resté dans ma mèmoire parce que ni lui , ni sa soeur n'aurait jamais rien dit de mal sur moi , Manuel aimait être avec moi comme son fils , je n'avais que 19 ans et lui 8 , 9 ans environs , le fluides sentiments homme enfant passé et celà lui faisait plaisir parce qu'il n'avait pas de père comme moi ou absence de père ... Ceux de mon palier étaient plus excentriques enfin un des 2 cousins et ayant frappé fort chez lui pour qu'il cesse son petit jeu de venir m'importuner , alors que sa mère se trouvait là , sa mère ne m'a jamais reparlé par la suite ... Un p'tit con déjà sauf son cousin Romain avec qui il était vraiment dégueulasse , sa mère dans les cars me parle toujours et ils ont 32 ans aujourd'hui moi j'en avais 19 .