Sculpture de Bruno Catalano |
De passage à Venise avant de rentrer à Paris.
Venise où je me suis fait draguer par deux charmantes vieilles dames authentiquement vénitiennes.
Hier, dimanche, se déroulaient les rituelles régates historiques qui ont interdit le "canale grande" à la circulation des "vaporetti" et aux taxis voguant.
J'ai expliqué à une jeune Française, étonnée qu'une spectatrice l'enjoigne avec véhémence de mettre sa "mascherina" (son masque) que l'Italie du Nord avait payé un tel tribut à la pandémie qu'il était normal que les autochtones soient quelque peu sur les nerfs quant aux négligences.
Je me suis même mis à portée de langage d'époque en disant : "vous comprenez, ils ont pris cher !"
J'ai subi un peu plus tard, à la terrasse d'un "caffè ", déclenchant à la fois la frayeur et l'hilarité des clients, une attaque en règle d'une volée de pigeons, digne d'un film d'Alfred Hitchcock. Les affamés volatiles se sont rués sur des "chips", friandise qu'au demeurant je ne touche jamais.
Dès que je puis me poser davantage je reviendrai sur le sujet "Vérone", digne d'intérêt crois-je.
Baci a tutti !
Strictement rien à voir avec ce qui précède.
Mais n'est-ce point de l'art baroque en l'espèce ?
2 commentaires:
Ce jeune homme est de Crémone ? Peut on assimiler son corps à un violon baroque ?
Comme l'indique la légende, il s'agit d'une sculpture.
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