quand j'écrivais Tombe, Victor !
Il y a dans Facebook un groupe dédié initialement
à l'amour que l'on peut porter à cette ville.
Si l'on peut y trouver des photographies, dont celles-ci, qui
l'exaltent, de nombreux messages ne dérogent pas à l'état d'esprit malsain
qui plane comme vol de corbeaux sur le champ envahi d'herbes mauvaises
des réseaux "sociaux".
En 2016, accompagné d'un ami très cher, je fis un pèlerinage sur les lieux de l'action.
J'ai beaucoup marché, égrené pour lui les souvenirs d'enfance ravivés par telle ruelle,
tel édifice, telle plage, tel chemin menant au phare de la Garoupe, celui-là même où Victor
et Paul connaissent, dans le roman, le premier embrasement.
Pour l'heure, je n'ai pas le désir d'y retourner.
Pour l'heure, je n'ai pas le désir d'y retourner.
Photos, de haut en bas :
1 anonyme
2 Patrick Blanchard
3 Guy Amram
4 Anne Prost
5 Tane Rougeote
6 Archives personnelles
3 commentaires:
Antibes reste la superbe cité aux remparts rongés par les embruns. On y fait toujours d'agréables rencontres, sur le sentier des douaniers, le long du Cap, par exemple Les jeunes gens y ont encore cet irrésistible pouvoir d'éveiller les désirs les plus coupables...
Vous devriez y revenir, Silvano. Les beaux jours d'automne sont une excellente période pour retrouver les lieux de "l'action"...
Bien à vous.
René
René : vous idéalisez un tantinet une "faune" que je connais fort bien. Je vous rappelle que j'avais intitulé des écrits "Le chemin des contrebandiers". Je connais fort bien le sentier des douaniers que j'ai emprunté plus d'une fois.
Votre roman est à lire, et, vous m'en donnez le prétexte, à relire.
On attend un nouvel opus.
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