Un nouvel épisode prochainement.
Ce dimanche-là, notre amour s’était ragaillardi d’un bain de fraîcheur dans la rivière. Sortant de l’onde, Jules, campé sur ses jambes d’athlète, exhibait fièrement sa nudité : « Hé, regarde, c’est autre chose que le corps de ton freluquet de Montpellier, non ? » Il était si beau que j’eus envie de le manger et de le boire. Comme s’il m’avait lu, il dit que j’étais beau, moi aussi, mais blanc comme un cachet d’Aspro, puis il m’étreignit avec force. « À table ! », pensai-je. (Épisode 79)
3 commentaires:
J'ai hâte de vous lire cher Silvano.
Vite !
Que sont mes amis devenus que j'avais si près tenus et tant aimés.
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