Excusez moi de gâcher l'ambiance, mais une petite pensée, je vous prie pour tous ceux qui n'ont pas de vacances. Il y en a. De plus en plus nombreux. Marie
Bien sûr, Marie. C'est, de plus en plus, devenu un privilège que de pouvoir s'évader. C'est un retour en arrière : les enfants que l'on dépose au centre de loisirs de l'école voisine sont chaque année plus nombreux. Je ne peux tout dénoncer dans un blog qui se veut plus ou moins onirique.
Je comprends, Silvano. C'était juste un mouvement d'humeur que je n'ai pas su réprimer. Sans doute m'y suis-je sentie autorisée. Bien sûr, votre blog n'est pas là pour dénoncer mais pour faire rêver. En ce qui me concerne, c'est parfaitement réussi. J'y viens le matin avant de partir au travail, parsemant ainsi du rêve sur les duretés du monde qu'il m'est donné de rencontrer dans les yeux des autres. Et, très magiquement, cela m'aide. Encore merci Marie
5 commentaires:
Les grandes vacances ! Bon dimanche.
Vous me faites languir, Silvano ! Encore 12 jours à Paris, et séjour mérité dans les Pouilles. Et comme vous êtes de bon conseil...
Excusez moi de gâcher l'ambiance, mais une petite pensée, je vous prie pour tous ceux qui n'ont pas de vacances.
Il y en a.
De plus en plus nombreux.
Marie
Bien sûr, Marie. C'est, de plus en plus, devenu un privilège que de pouvoir s'évader. C'est un retour en arrière : les enfants que l'on dépose au centre de loisirs de l'école voisine sont chaque année plus nombreux. Je ne peux tout dénoncer dans un blog qui se veut plus ou moins onirique.
Je comprends, Silvano. C'était juste un mouvement d'humeur que je n'ai pas su réprimer.
Sans doute m'y suis-je sentie autorisée.
Bien sûr, votre blog n'est pas là pour dénoncer mais pour faire rêver. En ce qui me concerne, c'est parfaitement réussi. J'y viens le matin avant de partir au travail, parsemant ainsi du rêve sur les duretés du monde qu'il m'est donné de rencontrer dans les yeux des autres.
Et, très magiquement, cela m'aide.
Encore merci
Marie
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