Ce n'est pas une photo pour papiers glacés ; le garçon se contente d'être beau sans en tirer bénéfices.
A-t-il seulement conscience de sa beauté ?
C'est l'une de ces photos qu'on prend pendant les grandes vacances. Qui se cache derrière l'objectif ? Une petite amie ? Un copain amoureux qui n'ose se dévoiler ? En tout cas, quelqu'un qui est désireux de garder pour l'éternité l'image de la jeunesse en majesté.
11 commentaires:
Comme il est beau ! Et ces pectoraux joliment dessinés. Quand j'étais ado, dans mon cercle d'amis, il était de bon ton d'avoir un torse très plat. Quand on avait des pecs, on les cachait...
Belle image avec un caractère certain de sincérité, jusqu'aux deux téléphones portables, du (de la ?) photographe et du garçon, lien indispensable avec le monde, tenus dans la main droite. Jusqu'aux yeux du garçon, sans sourire, presque grave, sans satisfaction évidente du regard sur lui posé.
En tout cas, il doit être très sollicité : je remarque qu'il tient deux portables dans sa main droite !
Un angélisme affirmé est un gage précieux.
à estèf : c'est pour cela que je me suis bien gardé de développer mes pectoraux.
Je comprends... Les miens étaient venus par génétique. Aucune photo pour en témoigner, j'ai toujours une chemise !
Un téléphone pour sa copine et l'autre pour son copain. Il mérite bien cela cet ange magnifique du bout des cheveux aux bouts des orteils (y compris le short). Pour les pectoraux plats cette mode remonte au XIXème siècle ?
Jeremy
Oui, Jeremy, 1ère moitié du XIXème, plus exactement.
Pectoraux ou pas ? Certaines publications génèrent des commentaires réellement passionnants.
:-)
J'aurais au moins appris d'où vient cette mode...
n'y aurait il pas une part de génétique là dessous! disons que moi vu mon torse de grenouille (dixit le médecin scolaire)il a bien fallu que les pectoraux se développent vers l'avant, avec une petite toison entre !
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