Une ouverture tragique, puis l’éphémère douceur, grâce, ici, au
toucher soyeux de ce bon vieil Arthur.
Je préfère, c’est vrai, la version Arrau-Giulini (EMI).
Les garçons sensibles prendront garde aux effets du deuxième
mouvement (à 22’27) : préparez vos mouchoirs, c’est divin ! Quant au troisième mouvement, ça réveille !
Brahms, ce n'est pas rien.
Et Dalida non plus (ça, c'est simplement pour faire plaisir à un ami en éclectisme).
2 commentaires:
C'est ce que j'aime chez vous : vous vulgarisez (au sens propre) à merveille. Vous faites beaucoup pour ma culture "musique classique" sans aucune condescendance, sans pédanterie. Vous m'accrochez avec vos "anges"pour mieux m'amener à des découvertes qui me transforment.
Merci.
Merci à vous : vous lisez ce blog en toute intelligence.
Nantes, ville éminemment civilisée !
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