Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


lundi 29 juillet 2019

La fin est proche


La disparition des "frites-maison" dans la plupart des restaurants et brasseries français est le signe évident que nous sommes entrés dans une terrible période de décadence.

6 commentaires:

Antoine a dit…

Les Hauts-de-France et la Belgique sauvent l'honneur, j'espère !

Anonyme a dit…

Ce qui est triste, c'est que cette "décadence", comme vous la qualifiez à juste titre Silvano, ne concerne pas que les frites. Selon un article récemment lu, 80% des plats servis dans nos restaurants (aux cartes exponentielles !) auraient une origine industrielle et ne seraient que réchauffés sur place...

Renato

Bive a dit…

Hélas oui, anonyme ! ! !

Silvano a dit…

Il n'est pas anonyme, il a signé Renato.
;)

Anonyme a dit…

Buongiorno a tutti.
Il n'y a pas que les frites, ou par extension la nourriture : c'est l'ensemble de la société qui part en vrille. Tout ce qui fait le sel de la vie, sur cet (encore) Eden de terre est en danger, et par la suite, la civilisation elle-même. Je suis triste de voir comment les choses tournent. Non. Pas triste. J'ai dépassé ce cap. Profondément, irrémédiablement désespéré. Pa exemple, vous pensez que ce sera chouette, un jour, de lever la tête, de regarder la lune, et d'y voir les ricains ou qui vous voulez dans leur ville lunaire ? Et les chinois avec leur satellite solaire, pour éclairer la nuit ? .... Brrrrrrr ... J'ai froid. J'ai peur. Il ne faut pas le dire aux enfants.
Mais vite, vite, revenons à "Gaycultes" et à toutes les beautés qu'il nous montre. Vive la joie ! D.

Silvano a dit…

D. : certes. Mais les frites surgelées, c'est la pire des choses qui nous soit arrivée, convenez-en.