On ne s'en lasse pas.
Des non-comprenant veulent y voir un sketch homophobe.
C'est bien mal connaître le second degré de l'humoriste.
Quant aux gays, leur sens de l'autodérision bien connu leur permet d'apprécier ce petit bijou à sa juste valeur.
Pensées émues pour ce grand artiste et son complice Jean-Loup Dabadie.
Des non-comprenant veulent y voir un sketch homophobe.
C'est bien mal connaître le second degré de l'humoriste.
Quant aux gays, leur sens de l'autodérision bien connu leur permet d'apprécier ce petit bijou à sa juste valeur.
Pensées émues pour ce grand artiste et son complice Jean-Loup Dabadie.
Et un salut à ceux qui n'avaient pas la référence permettant de comprendre ma petite plaisanterie de lundi et se sont coltinés le match pour essayer de deviner quels joueurs étaient en couple !
Connaissant l'homophobie du milieu footballistique, il était pourtant simple, à mon sens, de déceler la supercherie.
Connaissant l'homophobie du milieu footballistique, il était pourtant simple, à mon sens, de déceler la supercherie.
4 commentaires:
Éternelle ambiguïté de l’humour : on ne peut faire rire qu’au second degré, donc inévitablement en faisant un peu mal à ceux qui sont concernés par le premier degré, que ce soient des Gays, des Belges, des Juifs, des Musulmans, des gens de droite ou des bobos de gauche... et Guy Bedos n’épargnait personne. Mais ce que les gens de mon âge décryptaient bien, c’était où allait son respect et sa tendresse et à qui il réservait sa véritable férocité. Je ne suis pas certain qu’un jeune gay amateur de foot, car il y en a heureusement beaucoup, puisse encore voir ce sketch avec la même jubilation que la mienne.
Vous parlez d'or, Ludovic.
;)
Je n'avais pas la référence, mais j'ai bien compris qu'il s'agissait d'une nouvelle "malice".
Quant au sketch, quel régal !
sei un burlone! t'es un blagueur!
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