Les ombres, surtout celles de la chaise, me font penser à Hopper. Dommage que je ne distingue pas ce qui a été déposé sur la table : un bol, un légume bien vert et, sur une planche, un morceau de gâteau avec deux cerises dessus ? Peu importe. J'allais omettre la force avec laquelle la lumière, tranchante, prend possession de la pièce et pourtant réchauffe à peine.
...la méditation, si on se "laisse faire", peut nous conduire à la paix et la paix à l'amour et dans cet espace que nous avons ouvert peut se déployer la bonté celle dont C. Bobin dit : "La bonté, c'est simple: par définition on n'en a pas. Elle n'a pas de place dans le monde. Donc quand elle est là c'est toujours un miracle. Elle fait éclater toutes les pensées mièvres, convenues, sur elle...l'intelligence qu'elle nous donne nous baigne, nous tombe dessus comme une averse printanière mais rude. Cela fait comme un nimbe. C'est la plus grande surprise, tandis que le mal est inscrit au programme depuis toujours. Le mal, c'est la place des ténors, il est la chose la plus banale, ce à quoi je m'attends toujours. Tandis que la bonté, c'est un oiseau égaré parmi les cuivres et les cordes de ce mauvais concert, c'est le grand naturel du coeur qui est à chaque fois inattendu...." Vous avez raison, Silvano, nous allons nous asseoir et respirer lentement, le meilleur moyen de ne pas l'effrayer et de la laisser venir. Marie
Les deux commentaires ci-dessus se complètent fort bien. Je vous remercie d'avoir décelé l'intention sous l'insertion de cette image et dans ces quelques mots.
3 commentaires:
Les ombres, surtout celles de la chaise, me font penser à Hopper.
Dommage que je ne distingue pas ce qui a été déposé sur la table : un bol, un légume bien vert et, sur une planche, un morceau de gâteau avec deux cerises dessus ? Peu importe.
J'allais omettre la force avec laquelle la lumière, tranchante, prend possession de la pièce et pourtant réchauffe à peine.
...la méditation, si on se "laisse faire", peut nous conduire à la paix et la paix à l'amour et dans cet espace que nous avons ouvert peut se déployer la bonté celle dont C. Bobin dit :
"La bonté, c'est simple: par définition on n'en a pas. Elle n'a pas de place dans le monde. Donc quand elle est là c'est toujours un miracle. Elle fait éclater toutes les pensées mièvres, convenues, sur elle...l'intelligence qu'elle nous donne nous baigne, nous tombe dessus comme une averse printanière mais rude. Cela fait comme un nimbe. C'est la plus grande surprise, tandis que le mal est inscrit au programme depuis toujours.
Le mal, c'est la place des ténors, il est la chose la plus banale, ce à quoi je m'attends toujours. Tandis que la bonté, c'est un oiseau égaré parmi les cuivres et les cordes de ce mauvais concert, c'est le grand naturel du coeur qui est à chaque fois inattendu...."
Vous avez raison, Silvano, nous allons nous asseoir et respirer lentement, le meilleur moyen de ne pas l'effrayer et de la laisser venir.
Marie
Les deux commentaires ci-dessus se complètent fort bien. Je vous remercie d'avoir décelé l'intention sous l'insertion de cette image et dans ces quelques mots.
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