Relire... Diantre, je me sens coupable de ne jamais être parvenu à dépasser la 20ème page de ce roman...
On pourrait passer devant ces deux bustes comme devant tant d'autres mais le lien qui les unit, légitimé par les conservateurs du musée qui ont pris soin de ne pas les dissocier, les rend particulièrement attachants et consolants.
3 commentaires:
Et aussi de Fernando Pessoa, le poème Antinous:" Ô mains qui étreignaient d'Hadrien les ardentes mains, etc
Relire... Diantre, je me sens coupable de ne jamais être parvenu à dépasser la 20ème page de ce roman...
On pourrait passer devant ces deux bustes comme devant tant d'autres mais le lien qui les unit, légitimé par les conservateurs du musée qui ont pris soin de ne pas les dissocier, les rend particulièrement attachants et consolants.
Belle photo et subtil titrage..
@kynseker : reprenez ce roman sur le champ ou je fais la gueule !
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