Je n'ai pas encore lu "Retour parmi les hommes" de Philippe Besson (aucun lien de parenté avec notre ministre-humaniste, ni avec le gracieux cinéaste).
On y retrouve le personnage de Vincent de L'Etoile que l'on a connu à 16 ans vivant la plus belle des histoires d'amour dans "En l'absence des hommes", où Vincent se liait parallèlement, d'un amour platonique avec un grand écrivain prénommé Marcel (suivez mon regard...).
Tragique, romantique, violent, "En l'absence des hommes", à l'instar d'un film comme Brockebak Mountain*, dépassait l'histoire d'amour homosexuel qui en est la trame pour atteindre l'universel.
On espère retrouver dans cette suite l'écriture nerveuse, habitée, qui faisait la force du premier roman, désormais "culte".
On y reviendra, c'est sûr.
Il paraît qu'on a le cinéma que l'on mérite.
Rien d'autre à déclarer.
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