"Je te promets que si nous allons en Italie, nous boirons autant de cafés et de cappuccini que tu veux !"
Que ne ferait-il pas pour que je l'emmène découvrir Venise ?
Je lui racontais comment un vénérable jeune ami (pourquoi faudrait-il que seuls les vieillards soient vénérables ?) moquait gentiment mes mokas en récurrence dès que je foule le sol de la péninsule, et surtout sur la lagune, où, au culminant de l'été, je prends prétexte de mon addiction au breuvage pour saisir la moindre occasion de m'asseoir un moment à l'ombre au premier campo venu.
2 commentaires:
Il n'y a que les touristes qui boivent des cappuccine...
Après 11 heures du matin, certes.
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