Pendant la période des fêtes, en direct ou en révision, la chaîne franco-allemande nous a gâtés : un document remarquable sur Sergio Leone, un autre qui l'était tout autant sur son compatriote Luciano Pavarotti, un excellent hommage fort bien documenté sur mon éternelle fiancée Audrey Hepburn, un Truffaut-Hitchcock d'exception, et, côté cinéma, le Guerre et paix de King Vidor, pâtisserie, certes, mais moins indigeste, cependant, que la version russe de Bondartchouk (et puis Audrey-Natacha n'est-ce-pas ?!), des Laurel et Hardy, L'étrange (et bouleversante) histoire de Benjamin Button et, mercredi dernier, l'occasion de vérifier que le muet The Artist a bien mérité toutes ses récompenses, avant de savourer, le lendemain, Le crime était presque parfait du grand Alfred, film prétendument mineur du maître qu'il était diablement utile de redécouvrir.
Hors des sentiers battus où il faut enjamber les sempiternels cabarets et bêtisiers censément "spécial fêtes", Arte nous aura permis de passer d'une année à l'autre sans indigestion.
Je crois que la plupart des programmes cités peuvent encore se voir sur le site de la chaîne.
Audrey Hepburn/Natacha |
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