Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
dimanche 19 mai 2019
Cadeau : du sang neuf pour Pierre Illitch
Après Edgar Moreau, voici venir Aurélien Pascal.
Les violoncellistes français font parler d'eux sur la planète Musique.
On notera que les contributeurs n'ont pas jugé bon de citer le nom du pianiste.
2 commentaires:
Pipo aka Mamy Grand
a dit…
Quand une page d'album est jouée à la perfection, j'oublie que ce genre de musique faisait frémir les jeunes filles bien élevées, qui avaient appris un peu de piano dans un pensionnat chic. Car je frémis aussi. Longtemps, les accompagnateurs ont été dédaignés, qualifiés de mercenaires. Leur situation me paraît s'améliorer. Je comprends que vous pestez. Mais ici, je n'ai d'yeux et d'oreilles que pour Aurélien Pascal, tant il est bel et bon, et bien davantage. A propos de violoncellistes français, je ne sais plus si vous avez consacré un billet à Bruno Philippe. Sur certaines de ses photos, il me fait penser à Kynseker lorsque cet autre petit garçon frêle et souriant découvrait l'Europe baroque avec l'ardeur, la drôlerie et la beauté de ses vingt ans. Est-ce lui qui a placé une tête d'angelot derrière le jeune Aurélien ?
Pipo etc. : je ne crois pas que Kynseker vagabonde encore par ici ; nul doute qu'il serait heureux et flatté que quelqu'un pense encore à lui. Nous sommes deux, en tout cas.
2 commentaires:
Quand une page d'album est jouée à la perfection, j'oublie que ce genre de musique faisait frémir les jeunes filles bien élevées, qui avaient appris un peu de piano dans un pensionnat chic. Car je frémis aussi.
Longtemps, les accompagnateurs ont été dédaignés, qualifiés de mercenaires. Leur situation me paraît s'améliorer. Je comprends que vous pestez.
Mais ici, je n'ai d'yeux et d'oreilles que pour Aurélien Pascal, tant il est bel et bon, et bien davantage.
A propos de violoncellistes français, je ne sais plus si vous avez consacré un billet à Bruno Philippe. Sur certaines de ses photos, il me fait penser à Kynseker lorsque cet autre petit garçon frêle et souriant découvrait l'Europe baroque avec l'ardeur, la drôlerie et la beauté de ses vingt ans. Est-ce lui qui a placé une tête d'angelot derrière le jeune Aurélien ?
Pipo etc. : je ne crois pas que Kynseker vagabonde encore par ici ; nul doute qu'il serait heureux et flatté que quelqu'un pense encore à lui. Nous sommes deux, en tout cas.
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