Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
vendredi 29 mai 2020
C'est tout pour aujourd'hui
Je suis effondré.
6 commentaires:
Anonyme
a dit…
Je le suis aussi Envahie de tristesse. Je n'ai pas su l'entendre, aujourd'hui sur les différents médias qui passent d'un mort à un autre, sa voix me peinait, des larmes gonflaient ma gorge ne demandant qu'à s'écouler. J'ai préféré le silence et le sourire pour l'accompagner.
Je les avais tant admirés Sophie Daumier et lui dans une retransmission d'un spectacle en 1966, puis lui en solitaire qui dans sa revue de presse épinglait les petits travers du pays hôte -Bruxelles années 80 , les parachutistes Belges dans les arbres - mais aussi n'hésitant pas à un bon mot à partir d'une actualité grinçante (diner chez les Ceausescu : que prendrez- vous comme dessert ? des pruneaux !) Mais c'était avant le règne du politiquement correct
6 commentaires:
Je le suis aussi
Envahie de tristesse.
Je n'ai pas su l'entendre, aujourd'hui sur les différents médias qui passent d'un mort à un autre, sa voix me peinait, des larmes gonflaient ma gorge ne demandant qu'à s'écouler. J'ai préféré le silence et le sourire pour l'accompagner.
Marie
Vous n’êtes pas le seul ! Lui et Jean-loup Dabadie en moins de 10 jours, c'est too much !
Triste printemps 2020...
Un faux méchant. Un bel être humain de convictions. Piccoli, Dabadie, et lui, en quelques jours, la fin d'une France qu'on aime.
Marie, nous étions en communion semble-t-il.
Antoine : "un faux méchant", oui c'est exactement ça, j'en parlerai prochainement.
Je les avais tant admirés Sophie Daumier et lui dans une retransmission d'un spectacle en 1966, puis lui en solitaire qui dans sa revue de presse épinglait les petits travers du pays hôte -Bruxelles années 80 , les parachutistes Belges dans les arbres - mais aussi n'hésitant pas à un bon mot à partir d'une actualité grinçante (diner chez les Ceausescu : que prendrez- vous comme dessert ? des pruneaux !) Mais c'était avant le règne du politiquement correct
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