Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
vendredi 30 septembre 2016
Jeu gastronomique
C'est un plat de saison de haute gastronomie.
Mais quoi ?
Réponse et publication des commentaires dimanche.
Le gagnant a le droit de m'inviter à déguster ce plat "mythique" (tiens, encore un terme galvaudé !).
galantine de volaille truffée au foie gras ? la dernière fois que j'ai cuisiné ça, c'était pour un pique nique dans la neige, un premier janvier dans les pyrénées..... carpe diem!
On voit bien le foie gras qui farce... pour le reste de la farce c'est plus dur, le noir de la truffe, du lard bien gras (c'est le gras qui donne du goût...) Andiamo, je me jetterais bien à l'eau mais j'ai peur de gagner, pas par crainte de dîner avec vous, j'en profiterais alors pour me faire dédicacer « Tombe Victor » et me faire conter encore Rome, Venise et Naples, mais par celle (la crainte...) de l'adition.... Donc la réponse est (mais je ne suis pas le premier à la donner, hein ?) : lièvre à la royale... Pas pour les anorexiques comme le garçon de vendredi soir ! (Je les préfère plus gréès de muscles...)
Franck (J'habite trop loin de Paris, à la première frontière d'Italie en venant de la capitale...)
Je me souviens d'un soir au Bascou, rue Réaumur, où nous dégustâmes, mon compagnon et moi, un lièvre à la royale qui portait fort bien son nom. Un robuste Aloxe-Corton lui tenait aimablement compagnie. C'était l'automne, nous étions bien... Et lui, de me dire qu'il en avait goûté ailleurs un autre bien moins réussi qui avait été renommé "mièvre à la noyade" par les convives peu enthousiates.
5 commentaires:
Galantine de volaille (chapon) truffée.
galantine de volaille truffée au foie gras ? la dernière fois que j'ai cuisiné ça, c'était pour un pique nique dans la neige, un premier janvier dans les pyrénées..... carpe diem!
Lièvre à la royale ?
On voit bien le foie gras qui farce... pour le reste de la farce c'est plus dur, le noir de la truffe, du lard bien gras (c'est le gras qui donne du goût...)
Andiamo, je me jetterais bien à l'eau mais j'ai peur de gagner, pas par crainte de dîner avec vous, j'en profiterais alors pour me faire dédicacer « Tombe Victor » et me faire conter encore Rome, Venise et Naples, mais par celle (la crainte...) de l'adition....
Donc la réponse est (mais je ne suis pas le premier à la donner, hein ?) : lièvre à la royale...
Pas pour les anorexiques comme le garçon de vendredi soir ! (Je les préfère plus gréès de muscles...)
Franck
(J'habite trop loin de Paris, à la première frontière d'Italie en venant de la capitale...)
Je me souviens d'un soir au Bascou, rue Réaumur, où nous dégustâmes, mon compagnon et moi, un lièvre à la royale qui portait fort bien son nom. Un robuste Aloxe-Corton lui tenait aimablement compagnie. C'était l'automne, nous étions bien...
Et lui, de me dire qu'il en avait goûté ailleurs un autre bien moins réussi qui avait été renommé "mièvre à la noyade" par les convives peu enthousiates.
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