Le dénommé Travis Fimmel, ci-dessus, ci-contre et aussi dessous, n'a jamais daigné répondre à l'une des 253 lettres d'amour que je lui adressai quand il était le héraut - mais aussi mon héros - de la marque de sous-vêtements Calvin Klein.
Aujourd'hui, barbu, chevelu, il joue les vikings dans des sous-produits télévisés.
Si je le croisais, je le snoberais : plus du tout mon genre.
Bon, allez,
bon dimanche !
3 commentaires:
Je dois vous avouer cher Silvano, qu'à l'époque je l'avais menacé de le quitter s'il répondait à vos lettres.
Ludovic, je vous hais.
Délicieux, et vos commentaires aussi.
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