Pour vous remercier de ce si joli blog, je vous offre ces lignes de Proust (dans Jean Santeuil): "Ils mêlaient leurs jambes, leurs bras, serraient leurs corps l'un contre l'autre, unissant leur froid, leur souffle, leur désir, leur chaleur, leur douceur, leur brusquerie, leur vie. Un soir, en passant dans un couloir, le désir de chacun avait découvert le désir de l'autre..." (p. 366 de l'édition Quarto/Gallimard.)
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Pour vous remercier de ce si joli blog, je vous offre ces lignes de Proust (dans Jean Santeuil):
"Ils mêlaient leurs jambes, leurs bras, serraient leurs corps l'un contre l'autre, unissant leur froid, leur souffle, leur désir, leur chaleur, leur douceur, leur brusquerie, leur vie. Un soir, en passant dans un couloir, le désir de chacun avait découvert le désir de l'autre..." (p. 366 de l'édition Quarto/Gallimard.)
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