Non, il ne s'agit pas de la scie des années 70, mais d'une très belle interprétation de cette "Romance sans paroles" Opus 30 n°6 d'un Mendelssohn pas assez estimé.
Par Daniel Barenboim, vous savez, ce pianiste et chef d'orchestre qui s'est mis en tête de réunir dans la même formation des musiciens israéliens et palestiniens.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire