Il a
ouvert sa chemise ; il était tout bronzé, pas comme moi qui n’aime pas
m’exposer au soleil, il l’a enlevée complètement et m’a demandé si je trouvais
qu’il était bien foutu ; je l’ai regardé comme on admire un tableau au
musée Picasso, en le détaillant, et j’ai trouvé que c’était bien plus beau.
« Caresse-moi » m’a-t-il ordonné, et j’ai exécuté l’ordre en
tremblant. « Tout doucement ! » il a dit. J’ai fait comme il
disait et, soudain, les cigales se sont tues. Victor, pendant que je le
caressais, a lentement déboutonné son pantalon blanc, a pris ma main et l’a
dirigée là, tout en bas, et je l’ai touché, doucement, sans oser regarder.
( Tombe, Victor ! - Extrait - Parution juillet 2016)
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2 commentaires:
Scène sensuelle remarquablement écrite, ce qui est très rare.
J'attends la publication avec impatience.
Où avais-je la tête, Alex ? Merci pour le compliment : j'en suis cramoisi.
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