Le deuil national a été décrété pour trois jours en hommage aux victimes de l'ignoble crime de masse commis à Nice.
Je reprends néanmoins ci-dessus les publications après avoir observé le silence toute la journée d'hier, incapable de retrouver mes repères.
J'ai pleuré sur les victimes, la colère m'a gagné, puis la détermination.
Malgré la menace qui pèse sur nous, il faut continuer à vivre, à sourire, à rire, à boire, à chanter, à aimer : c'est la meilleure manière de résister à ces barbares qui veulent bannir toute notion de joie de vivre de notre bref passage sur cette terre.
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