Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
mardi 28 avril 2020
Ailleurs, l'herbe...
Agaçant
(à plus d'un titre), non ?
8 commentaires:
Eric D
a dit…
Quelle herbe Silvano? Je ne vois qu'un pauvre gazon entièrement desséché par un printemps anormalement sec. C'est effrayant. Heureusement que la créature au centre est omnivore sinon elle serait maigre comme une vache sacrée. Les média ne parlent plus que du COVID-19 et évitent habilement de parler du climat déréglé. Évidemment, quand les sirènes de la finance sonnent la reprise du "comme avant", il serait malvenu de parler de dérèglement climatique et de l'impact de nos activités.
Je l'agacerais volontiers. J'approuve Eric D : je pense que cette question va rapidement venir au premier plan. On ne mangera plus de mangues voyageuses et on respectera les saisons pour les fruits, avec la production locale. Il faut espérer qu'il en sera fini de cette économie mondialisée qui prouve actuellement sa vanité.
J'ajoute que récemment, dans un billet, Silvano parlait d'examen de conscience. Peut-être va-t-on vérifier le bien fondé de l'expression "mieux vaut tard que jamais".
Il déchaine sur lui beaucoup de passion et je dois dire que je n'en suis pas exempt. Derrière lui l'herbe devient verte, il est pluie, soleil, nuages et tourments, rêve et cauchemar merci Silvano, bon 1er mais, c le jour de la chemise blanche ! Rénato
8 commentaires:
Quelle herbe Silvano? Je ne vois qu'un pauvre gazon entièrement desséché par un printemps anormalement sec. C'est effrayant. Heureusement que la créature au centre est omnivore sinon elle serait maigre comme une vache sacrée.
Les média ne parlent plus que du COVID-19 et évitent habilement de parler du climat déréglé. Évidemment, quand les sirènes de la finance sonnent la reprise du "comme avant", il serait malvenu de parler de dérèglement climatique et de l'impact de nos activités.
D'où le titre, Eric, d'où le titre : vous ne connaissez pas l'expression "ailleurs l'herbe est plus verte" ?
Je l'agacerais volontiers.
J'approuve Eric D : je pense que cette question va rapidement venir au premier plan. On ne mangera plus de mangues voyageuses et on respectera les saisons pour les fruits, avec la production locale. Il faut espérer qu'il en sera fini de cette économie mondialisée qui prouve actuellement sa vanité.
J'ajoute que récemment, dans un billet, Silvano parlait d'examen de conscience. Peut-être va-t-on vérifier le bien fondé de l'expression "mieux vaut tard que jamais".
Très bg.
Vous avez raison tous les 3.
;)
Ce n'est pas forcément déplaisant, anoustous. Un peu de douceur ne nuit pas au toucher.
Il déchaine sur lui beaucoup de passion et je dois dire que je n'en suis pas exempt. Derrière lui l'herbe devient verte, il est pluie, soleil, nuages et tourments, rêve et cauchemar merci Silvano, bon 1er mais, c le jour de la chemise blanche ! Rénato
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