Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
jeudi 21 mai 2020
La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres
Alex Lange par Luke Fontana
Sacré Steph', va !
5 commentaires:
Anonyme
a dit…
"Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !" Ah, quand repartirai-je sous d'autres cieux, et retrouverai-je l'amoureux qui depuis des mois m'attend, et que depuis des mois j'espère ? Les livres ne suffisent plus, la chair ne sait plus à quoi aspirer. La séparation est douloureuse et belle aussi, mais la réunion se fait attendre : j'ai hâte de retrouver la Chine et mon bel amant !
Merci pour cette petite « Brise marine » que vous faites souffler dès ce matin grâce à ce grand Steph’ Mallarm’ Souhaitons qu’il y ait encore beaucoup de livres à lire, d’écrivains qui aient le talent de les imaginer (de vrais auteurs, bien sûr, ne parlons pas des stakhanovistes de l’édition dont le talent n’a pour mètre-étalon que des volumes de ventes...) et de lecteurs avides de l’est découvrir !
Le commentaire de G. est très émouvant : je vous souhaite de retrouver votre vie au plus tôt. Merci aussi à Jonathan d'évoquer les auteurs authentiques, dont, heureusement, les ouvrages sont pléthore à nous ouvrir leurs pages.
5 commentaires:
"Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !"
Ah, quand repartirai-je sous d'autres cieux, et retrouverai-je l'amoureux qui depuis des mois m'attend, et que depuis des mois j'espère ? Les livres ne suffisent plus, la chair ne sait plus à quoi aspirer. La séparation est douloureuse et belle aussi, mais la réunion se fait attendre : j'ai hâte de retrouver la Chine et mon bel amant !
G.
Merci pour cette petite « Brise marine » que vous faites souffler dès ce matin grâce à ce grand Steph’ Mallarm’
Souhaitons qu’il y ait encore beaucoup de livres à lire, d’écrivains qui aient le talent de les imaginer (de vrais auteurs, bien sûr, ne parlons pas des stakhanovistes de l’édition dont le talent n’a pour mètre-étalon que des volumes de ventes...) et de lecteurs avides de l’est découvrir !
Le commentaire de G. est très émouvant : je vous souhaite de retrouver votre vie au plus tôt.
Merci aussi à Jonathan d'évoquer les auteurs authentiques, dont, heureusement, les ouvrages sont pléthore à nous ouvrir leurs pages.
Je ferai beaucoup d'efforts pour lui rendre sa gaieté !
Roger
Merci, cher Silvano, pour ce souhait que vous formulez.
G.
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