Quel que fût le résultat, le comportement eût été le même : dimanche dernier, le Qatari (Paris) Saint-Germain était en finale d'une compétition de la plus haute importance pour une masse de supporteurs boursouflés de bière, lesquels se livrèrent, après une défaite à côté de laquelle Waterloo ne fut qu'un détail de l'histoire, comme disait l'autre, à divers saccages et pillages sur des Champs-Elysées - dits "plus belle avenue du monde" - qui ne sont pas à la fête ces temps derniers.
À Marseille, ville rivale, on festoyait, cassant ça et là au passage, pour célébrer la défaite de l'ennemi héréditaire.
Le football : sport ou guerre civile perpétuelle ?
On peut préférer le tennis de table.
6 commentaires:
En cette période délétère, ces agglutinements relèvent du suicide collectif. La violence inhérente à ces jeux du stade ne surprend guère. Si elle ne se limitait qu'à ceux-là...
Quant à nous, protégeons-nous, écoutons de la musique, lisons, admirons les anges de Silvano, vivons !
Je ne peux qu'abonder dans votre sens, Antoine.
"Le foot, le foot, le foot… la France est foutue…" disait Bedos !
Silvano, … fût ou fusse ?
Pierre
Pierre : si vous saviez combien j'ai hésité en cette heure matutinale... Je pense que vous avez raison. J'ai du mal à concorder, parfois.
Ainsi donc, Silvano, vous profitez de l'office des matines pour rédiger vos sulfureux billets? Prenez garde, Sa très sainte colère pourrait être terrible!
:)
Yama Zek
Ne fût-ce qu'en raison de la chaleur, cher Silvano !
Bonne fin de journée. Promis, je ne cherche plus la petite bête…
Pierre
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