Avant la pandémie, un jeune homme de mon cercle, alors en fac, me disait qu'il avait appris que certains étudiants, pour joindre les deux bouts (!), se livraient à la prostitution de toute nature, homo, bi ou hétérosexuelle.
Ont-ils tous renoncé aujourd'hui, ou ont-ils recours au télétravail ? Bénéficient-ils du chômage partiel ?
Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
Photo en-tête Mina Nakamura
"La gravité est le plaisir des sots"
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
Photo en-tête Mina Nakamura
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
samedi 7 novembre 2020
Garçon de joie : une profession en péril ?
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2 commentaires:
Pourquoi ce type de prostitution est-il plus excitant ?
Pippo : pouvez-vous préciser ? Faites-vous référence à la photo ? Le billet en lui-même est un constat que je clos par un peu d'humour.
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