Les versions de cette œuvre magnifique d'Astor Piazzola ne manquent pas.
En voici deux
J'ai choisi la première pour sa simplicité : le piano d'Ana Carro et le violon d'Alberto Reguera suffisent à honorer le beau texte musical du maître argentin.
Mais on pourra préférer la suivante, plus proche de l'original, jouée, en janvier dernier par le grand Richard Galiano pour France Musique, ondes nécessaires.
En voici deux
J'ai choisi la première pour sa simplicité : le piano d'Ana Carro et le violon d'Alberto Reguera suffisent à honorer le beau texte musical du maître argentin.
Mais on pourra préférer la suivante, plus proche de l'original, jouée, en janvier dernier par le grand Richard Galiano pour France Musique, ondes nécessaires.
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