Ivo Pogorelich, Chopin
Les mélomanes connaissent cette histoire : en octobre 1980, celui que l'on nomme affectueusement "Pogo" participe au Concours international Chopin de Varsovie où, empêché de participer à la finale en tant que soliste avec l'orchestre, une violente controverse conduit la célèbre pianiste argentine Martha Argerich, membre du jury, à protester et à quitter le concours, rejointe par d'autres membres du jury, avec les mots « C'est un génie ».
Un an après ce scandale, Pogorelich, que de nombreux critiques avaient défendu, se produisait au prestigieux Carnegie Hall, en guise de débuts d'une carrière éblouissante. Avec l'âge, le pianiste est devenu l'un des plus grands interprètes vivants, si ce n'est le plus grand, rigoureux, exigeant, gommant peu à peu son image (trompeuse) de beau garçon romantique.
Cette vidéo offre une sorte de "récital Chopin" dans lequel les images issues du fameux concours, celles où il est vêtu de blanc, permettent de comprendre la réaction de l'immense Argerich.
Dès 1982, Pogorelich offrit un enregistrement d'anthologie avec la Sonate 32 opus 111 de Beethoven, les Études Symphoniques en forme de variations, op. 13 et la Toccata, op. 7 de Schumann.
C'est l'un des trésors de ma discothèque, mais il aborde les compositeurs les plus divers avec un style unique au monde.
Un an après ce scandale, Pogorelich, que de nombreux critiques avaient défendu, se produisait au prestigieux Carnegie Hall, en guise de débuts d'une carrière éblouissante. Avec l'âge, le pianiste est devenu l'un des plus grands interprètes vivants, si ce n'est le plus grand, rigoureux, exigeant, gommant peu à peu son image (trompeuse) de beau garçon romantique.
Cette vidéo offre une sorte de "récital Chopin" dans lequel les images issues du fameux concours, celles où il est vêtu de blanc, permettent de comprendre la réaction de l'immense Argerich.
Dès 1982, Pogorelich offrit un enregistrement d'anthologie avec la Sonate 32 opus 111 de Beethoven, les Études Symphoniques en forme de variations, op. 13 et la Toccata, op. 7 de Schumann.
C'est l'un des trésors de ma discothèque, mais il aborde les compositeurs les plus divers avec un style unique au monde.
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