Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
vendredi 9 janvier 2015
5 commentaires:
Antoine2LaRochelle
a dit…
Il s'appelle Charlie; il dit: ils ne m'empêcheront pas de m'exprimer. Hier, à La Rochelle, 3200 lycéens se sont rassemblés, avec une émotion palpable. Ils se sont recueuillis dans un calme impressionnant. Ils ont chanté la Marseillaise...Beau momment! Cette jeunesse est belle, et en plus elle pense!
Je ne vois pas en quoi chanter la Marseillaise est un témoignage de la pensée, collective qui plus est. Le sang impur n'est chez moi, jamais passé. Contrairement aux nationalistes de tout poil. Ce qui s'est passé en France n'est pas un événement national, mais concerne l'humanité tout entière.
on peut penser le sang impur comme l'image de l'intolérance et qui vaudrait pour cela d'être dans le sillon, encore faudrait il rendre celui ci infécond!
Mas não se esqueça Que você foi meu um dia Diga que já não me quer Negue que me pertenceu Que eu mostro a boca molhada Ainda marcada pelo beijo seu
(Mais n'oublie pas Qu'un jour tu as été à moi Tu dis que tu ne m'aimes plus Tu nies m'avoir appartenu Et moi, je te montre les lèvres humides Encore empreintes de ton baiser)
- Negue, Adelino Moreira, Enzo de Almeida Passos (Brésil)
5 commentaires:
Il s'appelle Charlie; il dit: ils ne m'empêcheront pas de m'exprimer. Hier, à La Rochelle, 3200 lycéens se sont rassemblés, avec une émotion palpable. Ils se sont recueuillis dans un calme impressionnant. Ils ont chanté la Marseillaise...Beau momment! Cette jeunesse est belle, et en plus elle pense!
Je ne vois pas en quoi chanter la Marseillaise est un témoignage de la pensée, collective qui plus est. Le sang impur n'est chez moi, jamais passé. Contrairement aux nationalistes de tout poil. Ce qui s'est passé en France n'est pas un événement national, mais concerne l'humanité tout entière.
"Le sang impur n'est chez moi, jamais passé." Chez moi non plus ; il faudra bien un jour revoir ce texte.
on peut penser le sang impur comme l'image de l'intolérance et qui vaudrait pour cela d'être dans le sillon, encore faudrait il rendre celui ci infécond!
Mas não se esqueça
Que você foi meu um dia
Diga que já não me quer
Negue que me pertenceu
Que eu mostro a boca molhada
Ainda marcada pelo beijo seu
(Mais n'oublie pas
Qu'un jour tu as été à moi
Tu dis que tu ne m'aimes plus
Tu nies m'avoir appartenu
Et moi, je te montre les lèvres humides
Encore empreintes de ton baiser)
- Negue, Adelino Moreira, Enzo de Almeida Passos (Brésil)
Belle photo.
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